1/21/2018 0 Commentaires Citations Lâcher-PriseCitations inspirantes sur le thème du Lâcher-Prise « Retenir équivaut à croire qu’il y a seulement un passé, lâcher prise, c’est savoir qu’il y a un avenir. » ~ Daphne Rose Kingma
« Certains pensent que tenir bon et s’accrocher sont des signes qui reflètent une grande force. Cependant, il y a des moments, où il faut beaucoup plus de force pour savoir quand lâcher-prise et le faire ensuite. » ~ Ann Landers « Beaucoup d’entre nous pensent que tenir le coup nous rend plus fort ; mais parfois c’est le fait de lâcher prise. » ~ Hermann Hesse « Abandonner ses attentes est une victoire. » ~ Mike White « Pour concevoir l’avenir de manière efficace, vous devez d’abord laisser le passé derrière. » ~ Charles J. Givens « Le processus de création est un processus d’abandon, pas de contrôle. » ~ Julia Cameron « Acceptez la vie comme elle vient. La voie la plus sûre pour découvrir la vérité est de ne plus résister à ce qui se présente. » ~ Jean Klein « Si vous vous abandonnez totalement dans l’instant présent, vous vivez plus richement ces instants. » ~ Anne Morrow Lindbergh « La grandeur de la puissance d’un homme se mesure à sa capacité à lâcher-prise. » ~ William Booth « Lâcher prise signifie réaliser que certaines personnes sont une partie de votre histoire, mais pas une partie de votre destin. » ~ Steve Maraboli « Vous devez apprendre à lâcher-prise. Évacuez le stress. De toute façon, vous n’avez jamais eu le contrôle. » ~ Steve Maraboli « S’il y a des gens à qui vous n’avez pas pardonné, vous ne vous éveillerez pas vraiment. Vous devez lâcher-prise. » ~ Eckhart tolle « Lorsque nous nous donnons la chance de lâcher-prise de toute cette tension, le processus naturel de guérison du corps peut commencer à faire son travail. » ~ Nhat Hanh « Lorsque je me laisse aller à être ce que je suis, je deviens ce que je pourrais être.» ~ Lao Tseu « La créativité passe par le courage d’abandonner ses certitudes. » ~ Erich Fromm « Respirez. Lâchez prise. Et rappelez-vous que cet instant est le seul que vous êtes sûr d’avoir. » ~ Oprah Winfrey Recueillies sur www..espritsciencemetaphysiques.com
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7/30/2017 0 Commentaires Petites histoires inspirantesLes 2 Loups en nous
Un vieil Indien Cherokee racontait la vie à ses petits-enfants... Un vieil indien explique à son petit fils que chacun de nous a en lui deux loups qui se livrent bataille. Le premier loup représente la sérénité, l’amour et la gentillesse. Le second loup représente la peur l’avidité et la haine. « Lequel des deux loups gagne ? « demande l’enfant. « Celui que l’on nourrit. » Répond le grand père. Sagesse Amérindienne. La course des grenouilles Une fois par an, dans le monde des grenouilles, une course était organisée. Tous les ans cette course avait un objectif différent. Cette année-là, il fallait arriver au sommet d’une vieille tour. Toutes les grenouilles de l’étang se rassemblèrent pour les voir et les encourager. Et la course commença …Une fois la course engagée, les grenouilles ne croyaient pas possible que les concurrents atteignent la cime de la tour. Et toutes les phrases que l’on entendit furent : « Impossible ! Elles n’y arriveront jamais ! » et on pouvait encore entendre ci et là : « Leur physionomie ne leur permet pas d’y arriver ! », « Elles vont se dessécher avant d’y arriver »,… Les grenouilles commencèrent à se décourager les unes après les autres. Toutes, sauf quelques unes qui, courageusement, continuèrent à grimper. Et les gens continuèrent à crier : « Vraiment pas la peine ! Personne ne peut y arriver, regarde, elles ont presque toutes abandonné ! » Et les dernières grenouilles s’avouaient vaincues, sauf une qui continuait de grimper envers et contre tout. Seule et au prix d’un énorme effort, atteignit la cime de la tour… Les autres, stupéfaites, voulurent savoir comment elle y était arrivée. L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait réussi l’épreuve Et elle découvrit… Qu’elle était sourde ! Est-ce un bien, est-ce un mal ? L'avenir nous le dira ! Il était une fois un vieux sage habitant dans une contrée isolée; il possédait un cheval, son seul outil de travail et son seul moyen de communication avec ses lointains voisins. Un matin, se levant pour travailler aux champs, quelle ne fut pas sa surprise quand il se rendit compte que son cheval avait disparu. Ce n’est que bien plus tard que ses voisins vinrent lui rendre visite craignant qu’il ne lui soit arrivé quelque chose de grave. Quand ils apprirent que son cheval avait disparu, ils se mirent à le plaindre « C’est un grand malheur pour toi; perdre ton cheval, ton seul moyen de locomotion; tu dois être triste et désespéré ». Le sage répondit : « Il n’y a aucune raison de se désespérer, ce qui m’arrive n’est pas réjouissant bien sûr; cela m’oblige à m’isoler un peu plus et surtout à changer mes habitudes de travail; mais le ciel en a décidé ainsi; est-ce un bien, est-ce un mal? l’avenir nous le dira ». Plusieurs semaines passèrent, un matin, alors que notre vieux sage allait se rendre au champ, quelle ne fut pas sa surprise de voir son cheval de retour, qui plus est, avec une jument et une dizaine d’autres chevaux. Quand ses voisins apprirent cela, ils vinrent à nouveau lui rendre visite, et lui dirent : « Que tu es sage, vieil homme, que ta philosophie est riche; tu avais raison l’autre jour de ne pas te morfondre lorsque ton cheval avait disparu. Tu dois être maintenant le plus heureux des hommes; te voilà le plus riche de la contrée avec cette horde de chevaux ». Le sage de répondre: « Bien sûr que je suis content; mais ce n’est pas pour cela que je vais changer mes habitudes ou sombrer dans la facilité, je considère cela comme un don du ciel; est-ce un bien, est-ce un mal ? l’avenir nous le dira ». Quelques semaines passèrent quand le vieil homme reçut la visite de son petit-fils; ce garçon jeune et impétueux voulut monter l’un des chevaux sauvages; celui-ci se cabra et le jeune homme se cassa la jambe dans sa chute. De nouveau les voisins revinrent le voir et lui dirent : « C’est encore toi qui avais raison, vieil homme; tu avais raison de ne pas trop te réjouir de ce qui venait de t’arriver, tu es maintenant dans le malheur. A cause de toi et de tes chevaux, ton petit-fils vient de se casser la jambe. Tu dois te sentir profondément coupable ». Le sage leur répondit : « J’ai été effectivement affecté par la chute de mon petit-fils, mais sans plus. Je ne suis pas maître de sa destinée, et s’il était écrit dans le grand livre que cet accident devait avoir lieu, cela aurait pu lui arriver n’importe où ailleurs; dans le désert par exemple : c’était alors la mort assurée. Je ne me sens en aucune façon responsable, ce qui ne m’empêche pas de l’aider et de le soigner’. Sur ces entrefaites, une guerre éclate entre deux contrées rivales; tous les jeunes furent enrôlés de force; la violence de la bataille entraîna un terrible massacre. Seul le petit-fils en réchappa, n’ayant pas été enrôlé à cause de sa jambe cassée. Le vieux sage avait eu une nouvelle fois raison. » Ta nature profonde Un Maître Zen vit un scorpion se noyer et décida de le tirer de l’eau. Lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua. Par l’effet de la douleur, le maître lâcha l’animal qui de nouveau tomba à l’eau en train de se noyer. Le maître tenta de le tirer nouvellement et l’animal le piqua encore. Un jeune disciple qui était en train d’observer se rapprocha du Maître et lui dit : « Excusez-moi Maître, mais vous êtes têtu! Ne comprenez vous pas qu’à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l’eau il va vous piquer ? » Le maître répondit: « La nature du scorpion est de piquer et cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider. » Alors, à l’aide d’une feuille, le maître tira le scorpion de l’eau et sauva sa vie, puis s’adressant à son jeune disciple, il continua: « Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal, prends juste des précautions. Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent ». Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi… Et ce que les autres pensent de toi… c’est leur problème ! » L’histoire du colibri Un jour, un grand incendie se déclare dans la forêt… Tous les animaux, terrifiés, observaient impuissants ce désastre. Seul le petit colibri, aussi frêle que déterminé, s’active en allant chercher quelques gouttes d’eau dans son bec, qu’il jette sur le feu, recommençant son manège sans relâche. Au bout d’un moment, le tatou agacé par cette activité à ses yeux inutile, lui dit : – « Colibri ! Tu n’es pas un peu fou ? Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ? » – « Je le sais, répond le colibri, mais moi, au moins, je fais ma part. L’âne au fond du puits Un jour, l’âne d’un fermier est tombé dans un puits. L’animal gémissait pitoyablement pendant des heures, et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l’animal était vieux et le puits devait disparaître et de toute façon, ce n’était pas rentable pour lui de récupérer l’âne. Il a invité tous ses voisins à venir et à l’aider. Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l’âne dans le puits. Au début, l’âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement. Puis à la stupéfaction de chacun, il s’est tu. Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu’il a vu. Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l’âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l’animal, il se secouait et montait dessus. Bientôt, chacun a été stupéfié que l’âne soit hors du puits et se mit à trotter !’ La vie va essayer de t’engloutir de toutes sortes d’ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n’arrêtant jamais. Il ne faut jamais abandonner ! Secoue-toi et fonce ! Rappelle-toi, les cinq règles simples ! À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres. Pour être heureux / heureuse : -1. Libère ton cœur de la haine. -2. Libère ton esprit des inquiétudes. -3. Vis simplement.. -4. Donne plus. -5. Attends moins. Texte de Me Carole Herbst ————————————————————————————————————————————-- 6 questions pour comprendre l'hypnose Interview de Gérald Brassine, fondateur le l'Institut Milton H Erickson de Belgique,
auprès de qui je me suis formée. http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/emissions/nord-pas-de-calais-matin/quoi-sert-hypnose-6-questions-gerald-brassine-hypnotherapeute-1109213.html Hypnose Thérapeutique en quelques mots L’hypnose thérapeutique , bien loin des techniques de music hall, est un outil médicalement référencé extrêmement intéressant et puissant.
Point de magie ou de prise de contrôle sur le patient. Au contraire, le travail s’effectue dans un état dit de conscience modifiée induit par les mots du praticien , mais ne consiste nullement à faire perdre conscience de soi. Pas de crainte d’être manipulé ou de perdre le contrôle. L’hypnose permet d’agir sur ce qui relève de notre inconscient. Respectueuse, elle vise à permettre à l'inconscient, d'atteindre un état un peu particulier dit de conscience modifiée ou état hypnotique durant lequel les "mots qui soulagent, les images qui apaisent " peuvent avoir un impact plus important en contournant les freins du mental et en agissant directement sur le cerveau émotionnel. Cela conduit à la transformation d’une idée en un changement physique ou psychologique concret Blocages, croyances, traumatismes, comportements que l’on ne peut maitriser, comme les fameux : « je sais ce que je devrais faire mais c’est plus fort que moi… ». Lorsque la nourriture par exemple, comble un vide (ennui, solitude, travail peu épanouissant…) on peut appliquer la technique « du puzzle de la vie » et proposer au cerveau non pas d'uniquement se défaire du comportement ennuyeux mais bien d’échanger la pièce « alimentation » par une autre qui procurera autant de plaisir, sans les kilos ! Lorsqu’un traumatisme est en cause, on pourra utiliser entre autre la technique « du cinéma » pour aider à prendre de la distance, à digérer l’épisode traumatisant. Manque de confiance en soi, d’estime ou mauvaise image de soi, troubles psychosomatiques peuvent être apaisés avec l' hypnose. Et tant d'autres choses encore ! En séance, le langage utilisé se veut simple et positif et fait appel à la capacité d'imaginer des solutions créatives, de se reconnecter à ses ressources intérieures inestimables. L'état hypnotique est tout à fait naturel et n’a rien de mystérieux. Il manifeste une disposition du cerveau que nous avons déjà tous expérimentée. En fait, chaque fois que nous sommes très concentrés sur une activité en cours, nous sommes en état d’hypnose. Par exemple, pendant une lecture passionnante. Notre attention est alors focalisée sur le texte au point de ne plus ressentir ce qui se passe autour de nous A chaque rencontre , un changement s’opère. Parfois, ce n’est pas celui que l’on attendait, mais avec le recul, on s’aperçoit vite qu’il s'agit là de ce qui était justement nécessaire ! Sabine Accompagnatrice Mieux-Etre Hypnothérapie Relaxothérapie Psycho-Nutrition _www.sabinetilly.net 5/29/2016 0 Commentaires May 29th, 2016Pour une diététique Holistique « La diétiétique holistique » , encore un nouveau baobab dans la jungle des régimes ? Un concept new age inventé par un gourou de la rondeur ? Que neni ! Plutôt une voie vers le mieux-être qui semble enfin tenir compte de chacun dans sa globalité face aux kilos ou à la relation avec la nourriture. Le terme holistique vient du grec holos qui signifie entier. ENTIER … Pas coupé en deux avec d’un côté le corps et de l’autre l’esprit. Lorsqu’on souffre d’un souci « psychosomatique », cela ne signifie pas que « c’est dans la tête hein ma bonne dame… », mais bien que l’esprit en souffrance fait rejaillir son mal-être sur le corps et vice versa ! C’est pourtant d’une logique déconcertante. C’est un principe reconnu depuis des siècles dans ne nombreuses philosophies (Inde, Chine, Amazonie…). Et chez nous, grâce aux découvertes récentes des neuro-sciences et de la psycho-neuro-endocrino-immunologie, c’est en passe de le devenir. Au niveau diététique, c’est aussi une piste d’évolution vers de nouvelles opportunités thérapeutiques qui prennent en compte l’influence d’éléments autres que la seule alimentation sur le comportement alimentaire et la prise ou perte de poids. Le travail au niveau du stress et des émotions, de l’image de soi, des relations difficiles avec la nourriture se veut global car tout est lié … Nous nous trouvons dans un cercle vicieux destructeur très efficace ! Quelques exemples : Je suis hyper stressée par le boulot (la famille, la santé, la pollution, les voisins…), je subi des émotions négatives (colère, tristesse, anxiété, perte de joie de vivre, désespoir…), je mange pour compenser, je prends du poids ou je m’enfonce dans des problèmes alimentaires, mon image de moi en prend un coup (je suis nulle, moche, même pas capable de…,grosse…), et je restresse un bon coup ! Me voilà en roue libre sur la route du « y a rien qui va, à quoi bon… ». Il y a plus réjouissant comme voyage n’est-ce pas ! Ou encore, je me sens moche, cela m’angoisse (je resterai toujours seule, je ne trouverai pas de boulot sympa, je suis condamnée à jouer les frôle-murailles…), tant qu’à faire, je mange (au moins çà on ne peut pas me l’enlever, çà m’apaise et me réconforte un instant, je compense un manque de reconnaissance ou d’affection…), je m’en veux, je stresse, et je me sens encore plus mal ! Bardi Bardaf c’est reparti. Et aussi, je suis sans arrêt au régime pour correspondre au modèle minceur que je ( la mode, mon conjoint, mes copines, mon patron…) m’impose. Je stresse à mort devant ma balance, je culpabilise si je craque, je me toture l’esprit pour tenir le coup et trouver des menus minceur, je suis désespérée quand ça ne marche pas malgré mes efforts, je suis nulle, moche, … Au secours !! Ou peut-être, je suis en surpoids, je me sens jugée pourtant j’ai besoin ce ces kilos pour me protéger en ce moment, ou je me détache de mon corps qui ne me plait pas, je l’oublie, le cammoufle, je fuis les miroirs, je ne vois pas pourquoi je prendrais soin de lui puisqu’il me fait tant souffrir… Pas simple, pas évident, parfois inconscient, ce processus nous laisse KO pour un bon moment ! La volonté et la raison ne sont pas les meilleures conseillères devant les kilos. Les « t’as qu’à faire un effort ou quand on veut on peut », ne nous aideront pas d’un gramme. C’est ailleurs qu’il faut chercher les solutions. Détricoter le maillage émotions-alimentation.Réapprendre à offrir à son corps une alimentation qui lui veut du bien mais sans stress. On n’est pas des robots, les règles strictes, les interdits, les tabous alimentaires ne font pas partie du deal ! Ouvrir son esprit aux changements positifs et oser croire que nous pouvons devenir cette personne que nous rêvons d’être. Pas un mannequin aux os saillants mais une personne bien dans sa peau, souriante, rayonnante, qui prend soin d’elle et de son apparence sans se prendre la tête. Joli programme !! Toute une aventure !! C’est le voyage que je vous souhaite d’entreprendre . Pour pouvoir enfin se dire « il y a des jours avec et des jours sans, mais quand je fais mon bilan, je suis satisfaite et cela n’a pas de prix ! » Sabine Accompagnatrice MIeux-Etre Psycho-Nutrition Hypnothérapie Relaxothérapie _www.sabinetilly.net 5/29/2016 0 Commentaires Prendre son corps à coeurPrendre son corps à coeur L’insatisfaction corporelle touche environ 90% des femmes… Incroyable, impensable, mais tellement vrai ! Il y a toujours un petit quelque chose qui cloche : un nez trop long , des cheveux que l’on voudrait lisses ou bouclés, une cuisse un peu épaisse, une peau trop blanche, des bras trop mous, des kilos récalcitrants… A chacune ses complexes, qu’ils soient fondés ou simplement imaginaires, ils n’en sont pas moins douloureux ! La dictature minceur/jeunesse et le besoin de perfection renvoyés par les médias, la pub et la mode n’y sont pas pour rien… Quoi qu’on en dise, rares sont celles qui y échappent. Minces ou rondes, jeunes ou dans la fleur de l’âge, on se rêve différentes, mieux quoi ! STOP STOP STOP Toutes les femmes sont belles ! Lorsque l’on apprend à « habiter son corps » : en prendre soin, le respecter, le mettre en valeur avec bienveillance, la petite étincelle jaillit et comme le dit la pub (encore elle…), le bien-être qui vient de l’intérieur se voit à l’extérieur… Pour renforcer l’image de soi, reprenons contact avec notre charme, nos qualités et compétences (et elles sont nombreuses), faisons nous du bien sans culpabiliser (un massage, un hamman, une manucure, un passage chez le coiffeur, un conseil couleurs…), apprenons à adopter la positive attitude dans nos pensées mais aussi dans notre façon de bouger. On se redresse, on marche la tête haute et le regard franc et déjà on se sent mieux ! Prendre son corps à coeur, c’est parfois difficile au départ mais c’est toujours payant ! Alors un peu de respect pour soi-même que diable ! On se doit bien ça ! Et on le vaut bien … Sabine Accompagnatrice MIeux-Etre Psycho-Nutrition Hypnothérapie Relaxothérapie _www.sabinetilly.net La relaxation au service du mieux-êtreJe suis à bout, je vais craquer, je n’en peux plus, au secoooooours !!! Des petites phrases qui reviennent souvent quand les enfants, les collègues ou le toutou nous font perdre patience. Pas évident de se sentir coolzen en toutes circonstances, un vrai défi de traverser la vie tel un moine bouddhiste avec sérénité et relativisme. Et pourtant, trop de stress est synonyme de bien des désagréments : problèmes cardiaques, hypertension, prise de poids, fatigue excessive et la liste est loin d’être exhaustive. Pour cheminer vers la détente suprême, une voie royale s’ouvre à nous sous la forme des techniques de relaxation et de lâcher-prise. J’ai eu la chance d’en expérimenter un certain nombre au cours de mon parcours. Et il n’y a pas à dire, ça marche et c’est assez simple à mettre en place dans la vie de tous les jours. Bien sûr, au début, cela peut sembler un brin étrange de se concentrer sur sa respiration, une fonction vitale mais sur laquelle on porte peu son intérêt en général. Se focaliser sur certaines parties du corps et tenter d’y ressentir de la lourdeur, de la chaleur, ou visualiser un soleil rayonnant sur son plexus demande un peu d’imagination… Mais, assez rapidement, le mental lâche ses réticences et nous voilà partis dans un monde à part, si proche et si lointain à la fois. Apprendre à se relaxer, à se détendre peut se révéler d’un grand secours dans bien des situations : embouteillages, files à la caisse, disputes des ados, patron grognon etc etc. Cela peut aussi nous aider à déconnecter un moment quand on a envie de s’offrir un peu de bien-être express, sans dépenser le moindre sou ! Et puis, vous connaissez l’effet du stress sur nos habitudes alimentaires : trop besoin de compenser par une tonne de bonbons ou de se calmer avec une orgie de chocolat… Encore une fois, j’y tiens, ce n’est pas terrible ni horrible, c’est une façon de se donner un câlin gustatif. Mais quand cela nous met mal à l’aise car trop fréquent, c’est pas mal de se trouver d’autres ressources pour apaiser les nerfs à vif ! Voici une mini technique à appliquer quand on est sur le point d’exploser : Fermer les yeux, inspirer longuement par le nez en imaginant une énergie positive qui pénètre nos narines, expirer par la bouche vite et fort en imaginant expulser toute la nervosité, 3 fois. Ensuite, le cri silencieux = crier de toute ses forces mais sans émettre un son. Ouvrez les yeux, ça va déjà mieux ! A tester, dans un endroit discret comme les toilettes, le vestiaire ou la cabine d’essayage si on est pas à la maison ! Allez, zen soyons zen …. Sabine Accompagnatrice Mieux-Etre Psycho-Nutrition Relaxothérapie Hypnothérapie _www.sabinetilly.net L’éducation à la nutrition chez les enfantsL’éducation à la nutrition chez les enfants
Jonglant avec soif de découverte gustative et néophobie alimentaire, influence des medias et principes éducatifs familiaux, ou encore fast food , bio, émergence de l’ alimentation pleine conscience ou diabolisation de certains nutriments (gluten, sucre…). Eclairer les enfants sur la nutrition se révèle un challenge passionnant ! Réflexions... Plutôt qu’éduquer, je préfère le terme éveiller. En effet, le vocable éduquer sous-entend de transmettre une vérité de manière un peu académique. Cette approche, bien qu’ayant fait ses preuves dans certains domaines, me semble trop carrée pour parler d’une science en perpétuelle évolution et riche de facettes qu’est la nutrition. De plus, pour faire passer un message aux enfants, quoi de mieux que de les rendre actifs dans les apprentissages et ouverts à la réflexion plutôt que soumis à des règles théoriques qui peuvent apparaitre comme dogmatiques. Ceci pouvant amener à une opposition farouche, ou encore une peur de mal faire induisant un questionnement alimentaire somme toute assez perturbant. Eveiller, serait plutôt synonyme d’ouvrir positivement la conscience à toutes les dimensions de la diététique. A savoir, à des indications de saine alimentation, mais aussi, plus largement, à l’importance des sens dans la dégustation, aux aspects de l’alimentation dite intuitive ou pleine conscience qui fait la part belle au travers de l’écoute des signaux du corps, aux sensations de faim et de satiété. Sans oublier, les aspects tout aussi importants que sont l’influence des émotions sur la manière de se nourrir et encore le côté local et de saison qui s’intègre dans une démarche globale de juste consommation. Eveiller, c’est aussi permettre à l’enfant de poursuivre son chemin vers une alimentation qui correspond à ses valeurs, ses envies et ses besoins. A trop tenter d’imposer un schéma rigide, on risque de créer une perte de confiance dans les repères corporels quant à la juste façon de se nourrir (appétits spécifiques, ressenti du rassasiement…) ainsi que de réprimer ou exacerber certaines envies. Ce qui peut conduire à des troubles du comportement alimentaire. Quelques pistes… Dans la mesure du possible, il me semble intéressant de faire intervenir dans les écoles, des personnes ressource ayant une connaissance élargie et non figée de la nutrition, proposant des animations adaptées à l’âge, ludique, participative et inter active. J’ai la chance d’être associée à un tel projet auprès d’enfants de 5 à 12 ans. Il est à chaque fois réjouissant et stimulant d’observer leur intérêt et leur investissement dans ces apprentissages. Le plaisir qu’ils ont à découvrir des notions de diététique non restrictive, à participer activement à des préparations culinaires, à utiliser leurs sens lors des dégustations à l’aveugle ou leur créativité dans la composition d’assiettes artistiquement dressées. L’approche globale de la nutrition développée ci-dessus pourrait également être au programme de la formation des futurs instituteurs qui auront à intervenir en première ligne auprès des enfants. Hormis l’aspect scientifique du « bien manger », il pourrait être utile qu’ils soient sensibilisés aux notions de sensations alimentaires et autre plaisir de la dégustation en passant par le bien-être émotionnel. Pour conclure Manger est un besoin simple et un acte naturel qui revêtent néanmoins une multitude de facettes. Apprendre à bien se nourrir ne peut être réduit à manger « sain et équilibré ». Accompagner les enfants à construire une relation sereine avec l’alimentation et à devenir des mangeurs éclairés, est gage d’une évolution positive et constructive du comportement alimentaire de ces futurs adultes en devenir. Sabine Tilly Accompagnatrice Mieux-Etre Psycho-Nutrition Hypnothérapie Relaxothérapie _www.sabinetilly.net Etre bien dans corps et en paix avec la nourriture ! Etre bien dans corps et en paix avec la nourriture ! Les questions de poids, de silhouette, d’image du corps qui ne connait pas ?… Laquelle d’entre nous n’a jamais pesté devant sa garde-robe, hurlé face à sa balance ou déprimé devant son frigo ? 95 % des femmes ne sont pas en accord avec leur corps… Mais selon toutes les dernières études, la solution régime que nous appliquons avec beaucoup de volonté et d’espoir ne fonctionne à long terme que pour 1 femme sur 10 … Au prix de nombreuses privations et frustrations ! Nous pourrions parfois même concourir en catégorie pro au concours de yoyo… 3 kg en moins, 5 en plus, ou même 20 en moins, 30 en plus… Avec pour conséquence, une perte de confiance et d’estime de soi et un gros coup de cafard qui nuit à l’image de soi. Sans compter sur les sentiments d’échec et de découragements qui nous envahissent jusqu’au prochain régime à la mode. Celui qui sera enfin le dernier, enfin on l’espère… N’y a t’-il vraiment aucune solution alternative douce et respectueuse ? Ou est t’-il possible de retrouver son équilibre sans contrôle, sans calculs de points, sans recette miracle ou produit magique ? STOP les régimes, retrouvez VOTRE équilibre ! Aujourd’hui, les conseils alimentation saine sont légion dans les medias. Et plus personne n’ignore ce qu’il faut faire pour bien faire ! Ou en tout c’est ce qu’on croit. En effet, beaucoup de croyances s’avèrent non fondées ou perdent de leur sens une fois sorties de leur contexte. Alors que faire ???
Et comment faire ? Un premier pas pourrait être de s’intéresser de plus près aux 10 principes de l’alimentation intuitive ou alimentation consciente. Les voici : 1. Rejeter les régimes : On dit stop aux programmes minceurs des magazines et aux méthodes miracles qui tiennent plus du marketing que de la recherche de bien-être. 2. Honorer sa faim : On mange de façon régulière, à l’écoute de ses propres besoins et non selon des normes impersonnelles. 3. Faire la paix avec la nourriture : On quitte la dualité permis/interdit à l’origine de privation/frustration qui renforce les fringales et la culpabilité. 4. Faire taire la petite voix intérieure lorsqu'elle se prend pour la police de l'alimentation 5. Détecter les signaux de satiété : On fait une pause au milieu du repas, on prend le temps de savourer ce qu'il y a dans son assiette et on se demande si on est rassasiée. 6. Découvrir les bienfaits de la satisfaction : Manger ce qui nous fait vraiment plaisir génère un puissant sentiment de contentement. Résultat: on découvre qu'il faut beaucoup moins de nourriture qu'on le croyait pour assouvir sa faim. 7. Apprendre à apprivoiser et apaiser les émotions qui font manger 8. Respecter son propre corps : Le poids d’équilibre est déterminé génétiquement comme la couleur des cheveux. 9. Bouger et s'activer... dans le seul but de se sentir mieux et Se réconcilier avec son corps 10. Contenter ses papilles : On se rappelle que l'alimentation n'a pas à être parfaite en tout temps. L’équilibre se construit sur la durée. Tout un programme ! Certes, mais avec des résultats durables pour un mieux-être global. Alors, tentées ? Sabine Accompagnatrice Mieux-Etre Psycho-Nutrition Hypnothérapie Relaxothérapie _www.sabinetilly.net Pleine conscience, zen attitude et poids d’équilibre Pleine conscience, zen attitude et poids d’équilibre
La Pleine conscience ou Minfulness, vous connaissez ? C’est un outil de mieux-être validé scientifiquement dans de nombreux domaines, dont on parle de plus en plus. Notamment pour la gestion du stress (MBSR mindfulness-based stress reduction) et la prévention de la rechute dépressive (MBCT mindfulness-based cognitive therapy), des sessions de 8 semaines, en groupe, accessibles à tous sont organisées régulièrement par des psychologues formés à l’approche. Pour avoir participé à un cycle, je peux vous dire que j’en ai retiré beaucoup de satisfaction ! Cette technique qui s’apparente à une forme de méditation dégagée de toute croyance spirituelle, permet de se recentrer sur le moment présent et d’accueillir les pensées et les perceptions qui se présentent à l’esprit sans jugement. La pleine conscience étant celle du présent, elle permet de se détacher des souvenirs négatifs que l’on a tendance à ruminer ainsi que des projections vers un futur anxiogène. Selon la définition de Jon Kabat Zinn, initiateur du MBSR : « la pleine conscience est un état de conscience qui résulte du fait de porter son attention intentionnellement au moment présent, sans juger, sur l’expérience qui se déploie instant après instant. » Cet entrainement de l’esprit nous libère des mécanismes automatiques de pensées et permet d’acquérir plus de recul et de sérénité par rapport aux évènements stressants et aux émotions qui se présentent à nous. Dans le domaine de l’alimentation dite émotionnelle, cette approche peut largement aider à mieux accueillir les émotions et donc à diminuer notre besoin de les contrôler avec de la nourriture. Manger en pleine conscience permet aussi de se reconnecter concrètement avec les aliments que l’on consomme et donc de rendre bien réel un acte que l’on fait souvent de façon automatique. C’est ainsi que parfois on ne se souvient pas si oui ou non on a mangé ou on termine un paquet de biscuits « sans s’en rendre compte ». Manger en conscience c’est aussi déguster ! Et comme le plaisir alimentaire est impératif pour pouvoir accéder au rassasiement du corps mais aussi des sens, c’est très important de pouvoir à nouveau le ressentir. Sans compter un meilleur ressenti de nos sensations alimentaires faim/satiété gage d’un poids d’équilibre. La pratique dite formelle consiste à consacrer un moment délibérément à l’exercice durant lequel on sera assis sur un coussin, un banc de méditation, une chaise ou sur le sol ou bien couché. La pratique dite informelle quant à elle s’applique à tout acte de la vie quotidienne comme faire une vaisselle, se brosser les dents ou encore éplucher les légumes ! Développer la pleine conscience va apporter une modification significative à notre réaction face au stress ou aux émotions. Il s’agira grâce à elle « d’accepter » avec bienveillance et non-jugement sans chercher à fuir (dans la nourriture) ou à combattre. Plus besoin non plus de chercher en vain à être toujours d’humeur positive puisque toute émotion peut être vécue quelle qu’elle soit. Accepter ne veut pas pour autant dire se résigner… Il y a dans ce phénomène un lâcher-prise salvateur très différent d’un sentiment de défaite et de démotivation. Un petit exercice pratique de découverte : Manger en pleine conscience Selon http://www.eolepsy.blogspot.be/ Manger en pleine conscience c'est accorder toute sa concentration à ce qui se passe là, ici, maintenant, sous nos 5 sens. Commencez par regarder votre plat, la forme de l'assiette, sa couleur, la façon dont celle-ci reflète la lumière et la façon dont votre plat occupe la place dans cette assiette. Prenez le temps d'observer les couleurs, les formes, géométriques ou non de ce repas qui s'annonce. Peut-être devinez-vous déjà le plaisir que vous allez prendre à déguster celui-ci...mais patientons encore un peu. Ce plat, quelle consistance a t'-il? Sa texture? Son harmonie? Et d'ailleurs que pouvez-vous sentir à cet instant présent?. Laissez-vous ainsi porter par cette odeur (telle le loup de Tex Avery)... que sentez-vous vraiment? D'ailleurs êtes -vous encore là? Si vous observez que votre tête vous a emmené dans des pensées ramenez là ici et maintenant.... et goutez enfin ce mets préparé avec soin.... encore une fois prenez le temps de prendre conscience de ce qui se passe dans votre bouche. Sucré, salé, amertume, croquant craquant, fondant et tant de saveurs encore! Inutile de poursuivre ce récit je pense que vous avez compris le principe: prendre le temps de ressentir ce que l'on mange, pleinement conscient. Un peu de douceur avec soi-même, de l'écoute et du respect sont de bien bons alliés ! Sabine Accompagnatrice Mieux-Etre Psycho-Nutrition Hypnothérapie Relaxothérapie _www.sabinetilly.net |
AuteurSabine Tilly Archives
Janvier 2018
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