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Petites histoires inspirantes

7/30/2017

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Les 2 Loups en nous

Un vieil Indien Cherokee racontait la vie à ses petits-enfants...

Un vieil indien explique à son petit fils que chacun de nous a en lui deux loups qui se livrent bataille. Le premier loup représente la sérénité, l’amour et la gentillesse. Le second loup représente la peur l’avidité et la haine. « Lequel des deux loups gagne ? « demande l’enfant. « Celui que l’on nourrit. » Répond le grand père.
Sagesse Amérindienne.
 
La course des grenouilles

Une fois par an, dans le monde des grenouilles, une course était organisée. 
Tous les ans cette course avait un objectif différent. Cette année-là, il fallait arriver au sommet d’une vieille tour.  Toutes les grenouilles de l’étang se rassemblèrent pour les voir et les encourager.     
Et la course commença …Une fois la course engagée, les grenouilles ne croyaient pas possible que les concurrents atteignent la cime de la tour. Et toutes les phrases que l’on entendit furent : « Impossible ! Elles n’y arriveront jamais ! » et on pouvait encore entendre ci et là :  « Leur physionomie ne leur permet pas d’y arriver ! »,  « Elles vont se dessécher avant d’y arriver »,…  Les grenouilles commencèrent à se décourager les unes après les autres. 
Toutes, sauf quelques unes qui, courageusement, continuèrent à grimper. Et les gens continuèrent à crier :  « Vraiment pas la peine ! Personne ne peut y arriver, regarde, elles ont presque toutes abandonné ! » 
Et les dernières grenouilles s’avouaient vaincues, sauf une qui continuait de grimper envers et contre tout.  Seule et au prix d’un énorme effort, atteignit la cime de la tour…  Les autres, stupéfaites, voulurent savoir comment elle y était arrivée. 
L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait réussi l’épreuve  Et elle découvrit…  Qu’elle était sourde ! 
 


Est-ce un bien, est-ce un mal ? L'avenir nous le dira !

Il était une fois un vieux sage habitant dans une contrée isolée; il possédait un cheval, son seul outil de travail et son seul moyen de communication avec ses lointains voisins. Un matin, se levant pour travailler aux champs, quelle ne fut pas sa surprise quand il se rendit compte que son cheval avait disparu. Ce n’est que bien plus tard que ses voisins vinrent lui rendre visite craignant qu’il ne lui soit arrivé quelque chose de grave. Quand ils apprirent que son cheval avait disparu, ils se mirent à le plaindre « C’est un grand malheur pour toi; perdre ton cheval, ton seul moyen de locomotion; tu dois être triste et désespéré ». Le sage répondit : « Il n’y a aucune raison de se désespérer, ce qui m’arrive n’est pas réjouissant bien sûr; cela m’oblige à m’isoler un peu plus et surtout à changer mes habitudes de travail; mais le ciel en a décidé ainsi; est-ce un bien, est-ce un mal? l’avenir nous le dira ».
Plusieurs semaines passèrent, un matin, alors que notre vieux sage allait se rendre au champ, quelle ne fut pas sa surprise de voir son cheval de retour, qui plus est, avec une jument et une dizaine d’autres chevaux. Quand ses voisins apprirent cela, ils vinrent à nouveau lui rendre visite, et lui dirent : « Que tu es sage, vieil homme, que ta philosophie est riche; tu avais raison l’autre jour de ne pas te morfondre lorsque ton cheval avait disparu. Tu dois être maintenant le plus heureux des hommes; te voilà le plus riche de la contrée avec cette horde de chevaux ». Le sage de répondre: « Bien sûr que je suis content; mais ce n’est pas pour cela que je vais changer mes habitudes ou sombrer dans la facilité, je considère cela comme un don du ciel; est-ce un bien, est-ce un mal ? l’avenir nous le dira ».
Quelques semaines passèrent quand le vieil homme reçut la visite de son petit-fils; ce garçon jeune et impétueux voulut monter l’un des chevaux sauvages; celui-ci se cabra et le jeune homme se cassa la jambe dans sa chute. De nouveau les voisins revinrent le voir et lui dirent : « C’est encore toi qui avais raison, vieil homme; tu avais raison de ne pas trop te réjouir de ce qui venait de t’arriver, tu es maintenant dans le malheur. A cause de toi et de tes chevaux, ton petit-fils vient de se casser la jambe. Tu dois te sentir profondément coupable ». Le sage leur répondit : « J’ai été effectivement affecté par la chute de mon petit-fils, mais sans plus. Je ne suis pas maître de sa destinée, et s’il était écrit dans le grand livre que cet accident devait avoir lieu, cela aurait pu lui arriver n’importe où ailleurs; dans le désert par exemple : c’était alors la mort assurée. Je ne me sens en aucune façon responsable, ce qui ne m’empêche pas de l’aider et de le soigner’.

Sur ces entrefaites, une guerre éclate entre deux contrées rivales; tous les jeunes furent enrôlés de force; la violence de la bataille entraîna un terrible massacre. Seul le petit-fils en réchappa, n’ayant pas été enrôlé à cause de sa jambe cassée. Le vieux sage avait eu une nouvelle fois raison. »

Ta nature profonde


Un Maître Zen vit un scorpion se noyer et décida de le tirer de l’eau.
Lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua.
Par l’effet de la douleur, le maître lâcha l’animal qui de nouveau tomba à l’eau
en train de se noyer. Le maître tenta de le tirer nouvellement et l’animal le piqua encore.
Un jeune disciple qui était en train d’observer se rapprocha du Maître et lui dit :
« Excusez-moi Maître, mais vous êtes têtu! Ne comprenez vous pas qu’à chaque fois
que vous tenterez de le tirer de l’eau il va vous piquer ? »
Le maître répondit: « La nature du scorpion est de piquer et cela ne va pas
changer la mienne qui est d’aider. »
Alors, à l’aide d’une feuille, le maître tira le scorpion de l’eau et sauva sa vie,
puis s’adressant à son jeune disciple, il continua:
« Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal, prends juste des précautions.
Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent ».
Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons
pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation.
Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres
pensent de toi… Et ce que les autres pensent de toi… c’est leur problème ! »

L’histoire du colibri

Un jour, un grand incendie se déclare dans la forêt… Tous les animaux, terrifiés, observaient impuissants ce désastre. Seul le petit colibri, aussi frêle que déterminé, s’active en allant chercher quelques gouttes d’eau dans son bec, qu’il jette sur le feu, recommençant son manège sans relâche. Au bout d’un moment, le tatou agacé par cette activité à ses yeux inutile, lui dit : – « Colibri ! Tu n’es pas un peu fou ? Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ? » – « Je le sais, répond le colibri, mais moi, au moins, je fais ma part.


L’âne au fond du puits

Un jour, l’âne d’un fermier est tombé dans un puits. L’animal gémissait pitoyablement pendant des heures, et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l’animal était vieux et le puits devait disparaître et de toute façon, ce n’était pas rentable pour lui de récupérer l’âne. Il a invité tous ses voisins à venir et à l’aider. Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l’âne dans le puits.
Au début, l’âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement. Puis à la stupéfaction de chacun, il s’est tu. Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu’il a vu. Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l’âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l’animal, il se secouait et montait dessus. Bientôt, chacun a été stupéfié que l’âne soit hors du puits et se mit à trotter !’
La vie va essayer de t’engloutir de toutes sortes d’ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n’arrêtant jamais. Il ne faut jamais abandonner ! Secoue-toi et fonce ! Rappelle-toi, les cinq règles simples ! À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres. Pour être heureux / heureuse :

-1. Libère ton cœur de la haine.
-2. Libère ton esprit des inquiétudes.
-3. Vis simplement..
-4. Donne plus.
-5. Attends moins.
Texte de  Me Carole Herbst




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    Sabine Tilly


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